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semi remorque de bois de chauffage en 2m prix d’un semi remorque de bois de chauffage en 2m semi remorque de bois de chauffage en 2m? 35 m3 apparents (ou stère) : 630 € TTC

630,00 

Nous proposons aux particuliers qui préfèrent recouper leur bois eux-mêmes.

des bûches coupées à 2 mètres de long. d’un diamètre compris entre 8 et 40 cm et toujours « frais de coupe » c’est-à-dire du bois vert.

 

Ce bois est proposé par lot de 11 m3 (achat minimum) puis par multiples de.

c’est-à-dire 22, 33, 44 ou 55 m3. Cette dernière quantité est la quantité maximale que nous pouvons livrer en une seule fois.

 

Nous livrons à l’aide d’un camion-remorque muni d’une grue forestière.

 

Nous vous proposons du CHÊNE, du HÊTRE et/ou du FRÊNE, du CHÂTAIGNIER ainsi qu’un mélange de ces essences appelé FEUILLUS DIVERS.

Dans ce dernier vous pouvez donc trouver du chêne.

du hêtre et/ou du frêne, du châtaignier (principalement). mais nous ne pouvons garantir la quantité exacte de chaque bois puisqu’il vous est livré comme il sort de la forêt et n’est donc pas trié.

car vous devez stocker le bois plusieurs. mois avant de le consommer.

afin de le faire sécher et afin de n’avoir aucun problème lors de la combustion.

Le mieux étant d’avoir un an d’avance.

Le temps de séchage diffère en fonction des lieux de stockage. et des essences de bois :

on peut dire que 12 mois de séchage, pour du chêne.

sont très raisonnables pour toutes les régions du bord de la mer si vous le recoupez et si vous le refendez (en partie) dès la livraison.

 

Pour les régions plus à l’intérieur des terres.

il vaut mieux, si l’on peut et si l’on prend du chêne. le faire sécher 2 ans.

Un voyage complet : 55 m3 en 2 mètres de long

 

Nous livrons dans toute la France.

Le bois énergie ou sylviculture énergétique est une bioénergie issue de la biomasse. Surtout utilisé comme combustible primaire, il est de plus en plus transformé industriellement en sous-produit combustible. (liquide, gazeux, ou solide). C’est une énergie considérée comme renouvelable par le ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer français, mais sa contribution à la pollution de l’air est « très élevée, comparée aux autres carburants »1,2,3.

En particulier, la combustion du bois engendre beaucoup. plus de particules en suspension que d’autres combustibles tels que le gaz naturel, le fioul ou même le charbon.

Des préoccupations et des normes de rejets plus sévères voient le jour. dont en termes d’émissions de poussières et de monoxyde de carbone.

Le combustible bois, autrefois utilisé sous forme de « bois de feu ».

(bois de corde et fagots), est de plus en plus utilisé sous forme de plaquettes forestières, granulés de bois (ou pellets) et parfois de briques. de bois reconstituées. Il a servi dans les gazogènes, peut être converti en charbon de bois et combustibles plus élaborés (ex. : alcool ou gaz naturel de synthèse (GNS)4).

Le bois énergie est la première énergie renouvelable en France :

10 200 ktep produits en 2012, contre 4 900 ktep pour l’énergie hydraulique, 1 300 ktep éoliens et 450 ktep solaires (thermique et photovoltaïque). Dans le premier quart du xxie siècle, les filières plaquettes et pellets sont en fort développement, chez les industriels (appels d’offres « BCIAT »7 et de la Commission de régulation de l’énergie) et les particuliers.

Section d’un tronc d’arbre.

Copeaux frais issus d’une coupe de saules en TCR.

Bois sous forme de bûches pour chauffage. Le bois énergie est un type de bioénergie utilisant la biomasse.

Briquettes de paille.

Granulés de bois.

Historique

« Charroyage9 du bois de chauffage au Labrador ».

(1871). Gravure tirée de L’Opinion publique, périodique canadien-français.

Origines

Depuis la Préhistoire jusqu’au début de l’exploitation du charbon. le bois est de loin la plus importante10 source d’énergie disponible pour le chauffage et pour la cuisson des aliments.

Moyen Âge et époque moderne.

Au Moyen Âge puis à l’époque moderne. l’usage du bois permet le développement de certaines industries gourmandes en énergie comme la sidérurgie et la verrerie qui nécessitaient des températures élevées. À cet effet, le bois est transformé par pyrolyse (par carbonisation, carbonation ou distillation selon les sources) en charbon de bois, par des artisans spécialisés.

les charbonniers. Ce métier disparaît quasiment au xixe siècle à la suite de la propagation de l’usage du coke, produit par la pyrolyse de la houille. L’usage de la houille démarre en Angleterre pour les besoins. de la métallurgie, à la suite de la raréfaction inquiétante du charbon de bois.

Les anciennes cheminées du Moyen Âge.

immenses de hauteur et de profondeur formaient pour ainsi dire au milieu des vastes salles un petit cabinet où en hiver on se mettait des deux côtés. sous le manteau de la cheminée. On jetait alors des arbres entiers dans le foyer.

la consommation du combustible était excessive, mais minime au regard des étendues de forêt qui couvraient la majeure partie du sol. Peu à peu on défriche les terrains, les grandes forêts disparaissent et à mesure que le combustible diminue en quantité alors que la population s’accroît en progression inverse, les formes et les dispositions des chambres et des cheminées anciennes. leurs dimensions, sont revues à la baisse11. Les cheminées sont alors et restent un moyen de chauffage des plus médiocres.

L’air réchauffé est aussitôt aspiré par la cheminée. La cheminée ne chauffe dès lors que par rayonnement. Un foyer ordinaire d’appartement peut alors déterminer par son tirage une évacuation de 800 à 1 000 mètres. cubes d’air par heure et malheureusement c’est là le rôle principal des cheminées: la ventilation12.

Un encyclopédiste s’indigne au xixe siècle.

que si les cheminées du Moyen Âge permettent de retirer 3 à 4 % de l’énergie développée par la combustion du bois. les cheminées du xixe siècle ne retirent que le huitième ou le dixième de la chaleur produite dans le foyer, ce qui n’est pas beaucoup plus. Paris reçoit alors annuellement 500 000 stères. de bois par an pour les besoins du chauffage13.

Époque contemporaine.

Femmes ramassant du bois de chauffage.

Jean-François Millet, début des années 1850.

Musée des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou.

D’autre part le poêle; qui est alors mobile.

au xixe siècle à l’usage des pauvres, acquiert une telle perfection que, dit-on à l’époque, toute la chaleur du combustible qu’on y brûle reste dans l’appartement. les produits gazeux non susceptibles de se condenser s’échappent seuls par les tuyaux dont ils sont munis.

Tout l’intérêt se porte toutefois vers les calorifères.

l’ancêtre du chauffage central, beaucoup plus rentables, qui peuvent brûler indifféremment la houille, le charbon de tourbe, le bois, l’anthracite ou les lignites. La vue du feu crépitant dans l’âtre et le désir. de ne pas en être privé est l’un des grands obstacles qu’il faut vaincre avant de répandre quelque peu l’usage des calorifères.

D’autres sources d’énergie.

en particulier le gaz naturel ainsi que les différents produits du raffinage du pétrole, apparaissent par la suite qui vont achever de marginaliser. l’usage du bois comme combustible.

 

En Europe, la pénurie de charbon due à la Seconde Guerre mondiale engendre une forte augmentation de la consommation de bois. Ainsi en Suisse pendant les dernières années du conflit, la consommation est de plus de deux fois supérieure à la production naturelle.

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